Tout à elle, je veux être.
Tout à moi, je veux qu'elle soit.
Tout d'elle, je veux son être.
Tout de moi, je pense l'être.
Elle est si jeune et si belle
que tous les regards se retournent sur elle.
Je devrais en être jaloux.
A eux les regards qui rendent fou.
Elle n'est pas à moi, messieurs,
Elle s'est donnée à moi et c'est encore mieux.
Rêvez vos fantasmes tout seul
Pour moi elle les assouvit et pour moi seul.
Je l'aime de tout mon coeur
Et mes mains ne sont pour elle
que le prolongement de mon coeur.

Par Cieldebrune, "Pourquoi je t'aime"

Je t'aime, parce qu'avec toi, le monde est plus beau,
Le ciel bien plus bleu, les étoiles bien plus grandes,
Parce qu'un regard bien souvent remplace les mots,
Et qu'il suffit d'un rien, pour que ta main se tende.
Mais, Je t'aime aussi, pour tous ces rêves partagés,
Pour tes peines cachées, et chacun de tes rires,
Pour tes silences aussi, ta naturelle gaieté,
Et pour ce courage quotidien, que j'admire.
Je t'aime , car vois-tu, c'est encore dans tes bras,
Que s'apaisent mes craintes, que s'endorment mes doutes,
Et si le monde parfait, bien sur, n'existe pas,
Je sais que tu es là, comme toujours à l'écoute.
Je t'aime pour tout cela, et pour bien plus encore,
Il me plait d'y penser , et tu sais , je te l'avoue,
Ce qui me touche , le plus, ce qui me touche fort,
C'est que chaque jour, pour toi, il est question de NOUS.

Par macote, "Les mots d'amour que tu me dis"

Enchantent mon coeur quand tu les prononces
Ces fleurs qui parfument ma vie
Je les écoute dans la pénombre.
La douceur d'un ciel étoilé
Donne une sonorité frémissante
Tes mots, un chant dans la voie lactée
Qui me transporte dans le silence.
Les mots d'amour que tu me dis
Toujours les mêmes répétés
Pour moi, c'est une litanie
Qui ne se lasse pas d'être écoutée.
Comme la vague qui caresse
Le sable chaud de cette plage
Ta tendresse c'est comme l'ivresse
Qui m'enivre bien davantage.
Les mots d'amour que tu me dis
Je te les murmure à l'oreille
Pour que jamais, tu ne les oublies
Pour te rendre un peu la pareille.
Les mots d'amour que l'on se dit
... L'essentiel de ce qui nous lie.

La police était déjà intervenue à de nombreuses
reprises.

Tout avait pourtant bien commencé.

Les Durant -nom d'emprunt- avaient emménagé
dans ce petit pavillon aux abords de la ville.

Tout allait bien. Jusqu'au jour où l'arbre du voisin
a dépassé la clôture.

D'insultes en menaces, d'appels à la police en
lettres écrites par des avocats, l'atmosphère entre
les Durant et leurs voisins est devenue détestable.

Et c'est ainsi que l'irréparable s'est produit.

Une énième dispute est survenue, le voisin et
son fils ont passé la clôture, des coups se sont
perdus, Mr Durant a perdu l'équilibre et sa tête
a violemment heurté une vasque de fleurs.

M. Durant s'en est sorti avec quelques points
de suture. Il a porté plainte auprès de la Police.

Les Durant et leurs voisins ne s'échangent plus un
mot, plus un regard.

Il aurait suffit de quelques mots plus appropriés,
de quelques attitudes simples, de quelques techniques
de communication... Et 2 familles n'auraient pas
été traumatisées.